[Défi du 6/07 au 12/07] Les écrits

Attention attention voici le défi de la semaine...Et voici le théme..*roulement de tambour*
Votre petite copine enlevé par un psychopathe !

Défi de la semaine N°1
Votre petite copine enlevée par un psychopathe


Pour ce défi, je vais donc devoir me mettre dans la peau d’un garçon.


Chapitre 1

« Thomas ! Tu es encore en retard ! Que-ce que tu fiches bon sang ?!?
- Désolé Papa. Je n’ai pas vu le temps passer.
- Tu dis toujours ça… soupira le père du jeune homme.
- Je te promets que ça ne se reproduira plus.
- Toi et tes promesses je me méfie. Viens donc m’aider à faire le repas mon fils.
- J’arrive ! s’exclama aussitôt Thomas heureux d’avoir échapper au rituel du « imagine qu’un psychopathe se trouvait à l’angle de la rue ». »
C’était un jeune homme de dix-sept ans aux cheveux noirs et aux yeux bleus. Sous ses air de chien battu, c’était en fait un jeune homme très joyeux mais discret. Il vivait seul avec son père depuis la mort de sa mère.

A la fin du repas, Thomas monta dans sa chambre pour réviser, enfin, ça, c’était la version officielle, en vérité, il passait sa soirée à chatter avec sa petite amie, Louise, qu’il retrouvait en secret tout les après-midi et toutes les nuits.
Quand vint l’heure de se coucher, il s’affala dans son lit tout habillé et attendit que son père aille dormir. Quand il commença à entendre les ronflements de ce dernier, il se décida à partir. Il enjamba la fenêtre et sauta après avoir bien pris soin de refermer la porte à clé derrière lui. Il prit la direction de l’ancien dépôt du chemin de fer. Arrivé là-bas, il guetta le moindre bruit.
« Thomas ! Je suis là. Chuchota une voix dans l’obscurité.
- Louise ! Si tu savais, mon père m’a épargné son sermon de d’habitude, c’est un exploit !
- Oh toi et ton humour. Se moqua gentiment la jeune fille.
Le jeune homme se tût. Le silence fut rompu par Louise :
- A quoi penses-tu ?
- Au meilleur moyen de te faire taire. Ah ! J’ai trouvé. »
Et sans attendre qu’elle réponde quoi que ce soit, il l’embrassa dans un baiser passionné.

« Il faut qu’on y aille Louise. Ca va être l’heure.
- A demain !
La jeune fille se dirigea vers le coin de la rue pour repartir chez elle quand soudain un homme surgit à côté d’elle, lui empoigna violemment le bras et la jeta dans un fourgon.
- Louise !!!!!! S’écria Thomas. Que-ce que vous faites ?!?!? Louise !!!
Le camion démarra tendis que le jeune homme se lançait à sa poursuite dans une course folle.
Au bout d’une dizaine de minutes, Thomas dû s’arrêter. Il était à bout de souffle.
- Pourquoi ? Gémit-il en se prenant le visage dans les mains.
Alors qu’il se résignait à rentrer chez lui, à expliquer à son père qu’il sortait avec une fille depuis des mois et à appeler la police, il remarqua une tache sur la route. En s’approchant un peu plus près, il remarqua qu’il s’agissait d’essence.
- Ca doit être le réservoir de la camionnette qui fuit, je n’ai qu’à suivre les taches alors. »
Il continua à marcher en suivant la piste formée par l’essence perdue jusqu’à apercevoir une maison. Elle paraissait inhabitée avec son jardin mal entretenu, ses volets pourris et son toit plein de mousse mais, quand il s’approcha, il entendit quelqu’un parler à l’intérieur. Il s’approcha et tendit l’oreille :
« Tu a bien ligoter la fille ?
- Oui chef, ligoter et bâillonner. Et j’ai fermé la porte à clé.
- Parfais. On va chercher son identité et demander une rançon. N’est-ce pas ingénieux ?
- Oh, si chef. Très ingénieux.
- Bien. Tu peux disposer.
- Ne voudriez-vous pas une tasse de thé ?
- Oui c’est très aimable toi »
Thomas recula et tenta de réfléchir.
« Il a bien dit qu’elle était dans une pièce fermée à clé. Il me semble avoir vu en passant un garage. Je trouverai bien un peu de fil de fer pour trafiquer la serrure. Je n’ai pas d’autre choix. Je ne peux pas la laisser comme ça »

Le jeune homme avançait dans le noir en tâtonnant. Soudain, sa main rencontra un objet.
« Une lampe torche, parfais ! »
Il l’alluma et se mit à fouiller le garage de fond en comble. Au bout de dix minutes de recherches acharnées, il tomba sur une bobine de fil de fer et en coupa de petits bouts. Avant de retourner dehors.
« Par où je pourrai entrer ? Ah, là ! La fenêtre est entrebâillée. »
En s’agrippant au longues tiges de lierre qui serpentaient le long des murs de la maison, il réussit à pénétrer dans la maison dans un numéro d’escalade qui aurait rendu jaloux les plus grands professionnels. Se numéro d’acrobatie terminé, il tenta d’ouvrir toutes les portes jusqu’à en trouver une fermée à clé qu’il commença à trafiquer.
« Heureusement que mon cousin m’a appris comment faire »
En ouvrant la porte, il découvrit la jeune fille ligotée, bâillonnée et évanouie sur le sol.
« Louise ! Comment je vais la sortir de là ? Je n’ai pas le choix. Il faut que je la porte et que je saute par la fenêtre. »
Au moment où il s’apprêter à la mettre sur son dos, la porte s’ouvrit à la volée sur un homme tenant un revolver à la main.
« Qui êtes-vous que faites-vous là ?
- Vous n’avez pas honte de l’avoir kidnappée ?!? S’exclama Thomas
- Vous êtes venu pour la libérer ? Je suis policier. Je faisais ma patrouille quand j’ai vu cet homme décharger la fille et l’emmener dans la maison. Il s’est évadé de l’hôpital psychiatrique. Je n’avais aucune idée de la pièce où se trouvait la jeune fille alors je me suis introduit dans la maison, j’ai pris quelques vêtements, je suis ressorti et j’ai enlevé mon uniforme pour mettre ces habits. Ensuite j’ai sonné, je lui ai fais croire que je voulait travailler pour lui. Il n’a rien soupçonné car il a un quotient intellectuel très bas. Il à déjà fais la même chose plusieurs fois c’est pour sa qu’on lui à fais des test psychologiques et qu’on en a conclut que c’est un psychopathe. J’ai mis un somnifère dans son thé mais nous n’avons pas beaucoup de temps. J’ai appelé des renforts ils vont arriver d’une minute à l’autre. »

« Que… que-ce qu’il c’est passé ? Où sommes-nous ? Demanda Louise à son réveil.
- Nous sommes à l’hôpital. Lui répondit Thomas.
Deux minutes plus tard, après que le jeune homme lui eu expliquer ce qu’il s’était passé. Il y eu un silence qui sembla durer une éternité au goût de Thomas. Louise ne le remercia pas, mais la réponse qu’elle lui donna fut toute aussi convaincante. Sans un mot, elle posa ses lèvres sur celles du jeune homme…

Thomas et Louise sont heureux. Le père du jeune homme n’a rien reprocher à sont fils. Il a compris qu’il ne fallait pas gâcher ces moments de bonheur. Le psychopathe est sous bonne garde. Il ne recommencera plus.
Tout se passe bien. Il faut que tout se passe bien………………